Un homme et sa fille de deux ans ont été retrouvés morts peu avant midi, mercredi 15 septembre 2021, à leur domicile de Trôo (Loir-et-Cher).
L’alerte sur ce drame familial a été donnée vers 11h45 lorsqu’un proche est entré dans la maison et a découvert les corps sans vie d’un homme, né en 1973, et de sa fille de deux ans. Selon nos informations, le père et l’enfant ont succombé à des tirs d’armes à feu, peut-être un fusil, mais cela reste à confirmer. C’est le fils de l’homme décédé qui a fait la macabre découverte. Il a immédiatement alerté les services d’urgence et la gendarmerie.
Les premiers militaires sur place sont ceux de la brigade de Montoire. Ils se sont immédiatement assurés que la maison n’était plus accessible en attendant l’arrivée des techniciens en identification criminelle chargés de procéder aux constatations de la police technique et scientifique. Le dispositif a été renforcé par l’arrivée des enquêteurs de la brigade de recherches de Vendôme, bientôt renforcés par leurs collègues de la section de recherches d’Orléans. L’unité d’identification criminelle de Blois est également mobilisée sur ce nouveau drame familial.
Alors que les investigations débutent à l’intérieur de la maison sur le drame familial, d’autres enquêteurs se rendent dans les maisons voisines pour interroger les habitants. Cette famille n’était pas vraiment connue dans la petite ville et ne faisait pas la une des journaux.
Un magistrat du parquet de Blois s’est également rendu sur place, ainsi qu’un médecin légiste de l’institut médico-légal de Tours.
Les circonstances précises du drame sont inconnues. La thèse du meurtre de l’enfant par son père suivi du suicide de ce dernier a été l’une des explications envisagées mais le procureur de Blois est resté très prudent et a attendu les résultats des premières investigations avant de pouvoir communiquer sur cette affaire. Une autopsie des corps a été ordonnée et aura lieu ce jeudi à Tours pour éclaircir les circonstances du drame et établir les causes du décès.
La fillette est née d’une seconde union. Il semble que les parents de l’enfant traversaient une période difficile et étaient séparés depuis un certain temps. La mère de l’enfant a été assistée par un psychologue de l’antenne départementale de l’association France Victimes. L’homme n’était pas connu de la gendarmerie et n’était pas répertorié comme conjoint violent.
Raismes drame : il meurt après avoir basculé dans son bassin à poissons
Un homme a été tué dans un dramatique accident à Raismes ce mercredi après-midi. Un habitant de 68 ans a perdu la vie après être tombé dans le bassin à poissons de son jardin. Les services d’urgence n’ont pas pu le réanimer.
Accident dramatique, un un vrai drame, ce mercredi après-midi, à Raismes. Un habitant de 68 ans a perdu la vie après être tombé dans le bassin à poissons de son jardin. Les services de secours n’ont pu le réanimer.
Jeudi, on sentait que le voisinage était encore sous le choc dans cette petite rue de Raismes, où les véhicules des pompiers, du SMUR, puis de la police s’étaient précipités la veille. En milieu d’après-midi, un homme de 68 ans se trouvait dans son jardin lorsqu’il est tombé dans son bassin à poissons.
A l’arrivée des secours sur le drame, il est en arrêt cardio-respiratoire. Les services d’urgence ont tenté de le réanimer. En vain : ils ont dû constater son décès. A-t-il glissé dans le bassin ? A-t-il été victime d’un évanouissement au mauvais endroit ? Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes de ce décès dramatique.
Accident dramatique, ce mercredi après-midi, à Raismes. Un habitant de 68 ans a perdu la vie après être tombé dans le bassin à poissons de son jardin. Les services de secours n’ont pas pu le réanimer.
Le funambule Nathan Paulin a traversé la Seine à 70 mètres de hauteur
Parcourir les 670 mètres qui séparent, à vol d’oiseau, la Tour Eiffel du Théâtre National de Chaillot, perché à 70 mètres de hauteur. Le tout sur une sorte de sangle de 2,5 cm de large (moins qu’une poutre en gymnastique artistique qui fait 10 cm de large). C’est le défi que s’est lancé Nathan Paulin, funambule de 27 ans, lors des Journées du patrimoine. Il a réussi, sous le regard admiratif de centaines de passants. J’avais beaucoup de pression en marchant avec tous ces gens autour de moi », a-t-il confié au Parisien. Je suis content d’être arrivé. Et surtout, la vue était superbe.
Nathan Paulin, funambule: « J’avais un genre de vertige, j’avais peur du vide, c’était un peu un combat pour moi de réussir à faire ça » pic.twitter.com/d9jfl7nhqB
— BFMTV (@BFMTV) September 17, 2021
Marcher sur les 670 mètres qui séparent, à vol d’oiseau, la Tour Eiffel du Théâtre National de Chaillot, perché à 70 mètres de hauteur. Le tout sur une sorte de sangle de 2,5 cm de large (moins qu’une poutre en gymnastique artistique qui fait 10 cm de large). C’est le défi mais un drame aussi que s’est lancé Nathan Paulin, funambule de 27 ans, lors des Journées du patrimoine. Il a réussi, sous le regard admiratif de centaines de passants. J’avais beaucoup de pression en marchant avec tous ces gens autour de moi », a-t-il confié au Parisien. Je suis content d’être arrivé. Et surtout, la vue était superbe. »
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Un drame aurait pu se produire ! « Ce n’était pas facile parce que marcher 600 mètres, se concentrer, avec tout ce qu’il y a autour, la pression, ce n’était pas facile, pas aussi facile que je l’avais imaginé », a-t-il poursuivi. Sur son parcours, Nathan Paulin a dû faire plusieurs pauses, assis ou suspendu.
Un exploit qu’il compte bien réitérer ce dimanche à 15 heures. Et qu’il avait déjà réalisé en 2017 à l’occasion du Téléthon (il avait alors réalisé un record du monde de traversée en milieu urbain). En 2019, toujours pour le Téléthon, il a rallié deux tours du quartier d’affaires de La Défense, perchées à 150 m du sol.
Paris: le funambule Nathan Paulin s’est élancé depuis la Tour Eiffel pic.twitter.com/Z8bCxsQFr4
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De la peur des hauteurs à l’exploit, le drame évité de justesse
Quand on pense que ce jeune homme, qui a commencé le funambulisme « au ras du sol, entre deux arbres, en 2011″, avait le vertige, comme il l’a confié à nos confrères de BFMTV : « Au début, je n’aimais pas ça. J’avais peur du vide, j’avais le vertige, je n’étais pas à l’aise. J’ai beaucoup travaillé et aujourd’hui je n’ai plus peur « .
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Vous avez le vertige ? Essayez « la musique dans vos oreilles », a-t-il conseillé. Grâce à la musique, « vous vous mettez dans une bulle et cela vous aide à oublier le vide ».