Caroline de Monaco, figure emblématique de la royauté, fait souvent la une des journaux. Son époux, Ernst August de Hanovre, a récemment attiré l’attention des médias suite à une condamnation judiciaire. Le 23 mars, un tribunal autrichien a infligé une peine de prison avec sursis au prince, après qu’il ait été reconnu coupable de violences et de menaces envers ses employés et des policiers.
Cette affaire a suscité un vif intérêt dans la presse people, notamment en Allemagne, où le prince est régulièrement au centre de controverses. Ernst August, âgé de 67 ans, a été condamné à dix mois de prison avec sursis, une décision qui ne manquera pas d’agiter les cercles royaux.
Les événements remontent à l’été 2020. Selon les rapports, le prince se trouvait en état d’ébriété lorsqu’il a agressé un agent de police lors d’une intervention à son domicile. Cette intervention a été qualifiée de musclée par les forces de l’ordre, révélant un comportement pour le moins troublant. Cette violence n’était pas isolée, car le prince avait également menacé plusieurs employés à son service.
Ernst August de Hanovre a donc été condamné pour avoir utilisé la force contre des policiers, mais également pour des menaces graves à l’égard d’un couple travaillant sur sa propriété. Le tribunal de Wels a reconnu que le prince avait posé des actes inqualifiables, mettant ainsi sa réputation déjà entachée à un nouveau niveau de discrédit.
Suite au verdict, le juge a également imposé une interdiction de résidence au prince. Cela signifie qu’il ne pourra plus vivre dans son pavillon de chasse à Grünau im Almtal, en Haute-Autriche, pendant au moins trois ans. Cette sanction a été perçue par le prince comme d' »impensable », car il y habite depuis cinquante ans. Une situation qu’il peine à accepter.
En plus de cette peine, le prince devra également suivre une psychothérapie. Ce traitement vise à l’aider à adresser ses comportements problématiques et à retrouver une certaine stabilité. Les experts estiment que de tels changements sont nécessaires pour éviter des récidives, tant sur le plan personnel que social.