Dans la nuit du 31 août 1997, un événement tragique s’est produit à Paris, transformant à jamais le paysage médiatique et émotionnel du monde entier. La princesse Diana, une figure adorée et emblématique, perdait la vie dans un accident de voiture sous le tunnel du Pont de l’Alma.
Au cœur de cette catastrophe, un homme, Xavier Gourmelon, pompier de Paris, a joué un rôle crucial. Ce dernier a récemment partagé les derniers mots saisissants de la princesse, une révélation qui remet en lumière l’intensité des événements de cette nuit fatidique.
Un départ discret
Ce soir-là, la princesse Diana accompagnée de son compagnon, Dodi Fayed, quittait l’Hôtel Ritz avec l’espoir de fuir la frénésie des paparazzis. À bord de leur Mercedes-Benz S 280, accompagnés du chauffeur Henri Paul et du garde du corps Trevor Rees-Jones, ils entament un trajet qui ne devrait jamais avoir lieu. Malheureusement, aucun d’eux ne portait de ceinture de sécurité, un détail tragique qui aura de graves conséquences.
Le choc
Alors que la voiture émerge du tunnel, elle percutait un pilier à grande vitesse. Le bruit du choc résonne comme un coup de tonnerre dans la nuit parisienne. Dodi Fayed et Henri Paul ne survivent pas à l’impact, tandis que Diana, grièvement blessée, est toujours consciente lorsque les secours arrivent. Les premières minutes après l’accident révèlent un tableau chaotique, où le drame prend une tournure d’autant plus poignante.
Les premiers secours
Au milieu de ce désordre, Xavier Gourmelon, l’un des premiers pompiers à arriver sur les lieux de l’accident, découvre la scène tragique. Ignorant encore l’identité de la passagère, il s’approche de la princesse, qui reprend brièvement conscience. Les mots prononcés par Diana à ce moment-là résonnent : « Oh mon Dieu, que s’est-il passé ? » Ces paroles, à la fois simples et déchirantes, illustrent la confusion et l’horreur vécues par la princesse à cet instant précis.
Une minute, une vie
Dans la tourmente des opérations de secours, les pompiers s’affairent autour de Diana. Les gestes deviennent automatisés, mais l’humanité de l’interaction demeure. Une main est tendue, un regard échangé, et un appel à la vie. Alors que les secours tentent de stabiliser la princesse, elle connaît un arrêt cardiaque. Pendant quelques instants cruciaux, ils parviennent à la réanimer, lui redonnant un souffle de vie avant son transport d’urgence vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Mais la tragédie ne s’arrête pas là.
